Spectaculaire vuelta de campana de Negado, n°10 de Parladé, à Séville le 3 mai 2022. ©JYB
Même s’il sort une corrida triomphale chaque année, on pourrait espérer que Juan Pedro Domecq envoie au matadero toutes les vaches et sementales de ce fer et remonte une ganaderia avec ses Parladé.
Même si ceux-ci peuvent subir des vueltas de campana spectaculaires, comme le 6 ème en ce 3 mai, cela ne les empêche pas de charger et recharger dans la muleta d’un torero surtout si celui-ci en veut et torée avec entrega et grosse volonté. Alors que les Domecq, faibles, mous, fades, impossibles à piquer, ne peuvent que laisser le torero et le spectateur sur sa faim.
C’était le cas hier au soir de Gines Marin qui a coupé une belle oreille méritée.
Daniel Luque a subi le poids de l’averse, pas pendant sa bonne lidia, mais quand le public a oublié de pétitionner trop occupé à sortir les parapluies et enfiler les ponchos.
Alvaro Lorenzo, même s’il coupe une oreille, est un ton en dessous.
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