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Vache et son veau de la ganaderia Fernando Guzman ©JYB

Que le campo regorge de toros braves, encastés, solides et mobiles et que l’on puisse les voir encore longtemps dans les arènes.

Toros d’Adolfo Martin pour Madrid au campo. ©JYB

Que les toros de 2023 donnent autant de jeu que les Aguirre de Céret ou les Iban de Vic en 2022.

Carafea, n°32 de Dolores Aguirre, face à Chocolate monté sur Destinado, à Céret le 16 juillet 2022. ©JYB

Que les capes volent partout comme à Séville

Belle véronique de Morante de la Puebla pour amener son toro à la pique. ©JYB

Tomas Rufo en véronique devant le toro n°40 de Victoriano del Rio à Séville, le 2 mai 2022. ©JYB

Que les matadors soient inspirés et maîtrisent parfaitement leur art et leur pouvoir.

Damian Castano en naturelle devant Pajarito, n°33 de Baltasar Iban, à Vic, le 5 juin 2022. ©JYB

Que l’on voie partout des muletazos parfaits.

Trincherilla dominatrice de Daniel Luque, devant Trailero, n°29 d’El Parralejo, à Séville, le 28 avril 2022. ©JYB

Et que des hommes courageux continuent de prouver que la corrida n’est pas seulement un spectacle mais l’engagement de toute une vie.

Après un batacazo, Alain Bonijol aide son cheval à lutter contre la puissance du toro de Baltazar Iban, à Vic le 5 juin 2022.©JYB

Enfin, mais là pas besoin d’illustration, que les antis disparaissent de la surface de la terre et cessent d’agresser une culture qui mérite de perdurer et de vivre. (On peut toujours rêver…) : mais qu’en tout état de cause, l’aficion reste unie et active !

BONNE ANNEE ET BONNE TEMPORADA 2023 !

#OuiàlaCorrida