Le club taurin de Paris recevra Ruben Amon le 29 novembre prochain.
On a déjà présenté ici son ouvrage « La fin de la fête » :
LE COMMUNIQUE DU CTP:
Le vendredi 29 novembre, nous recevrons Rubén Amón, journaliste et écrivain, ancien socio du Club taurin de Paris.
Il viendra échanger avec nous autour de son ouvrage La Fin de la Fête publié en 2022 au Diable Vauvert, traduction de l’ouvrage El fin de la fiesta publié l’année précédente en Espagne.
Nous lui demanderons si trois ans après sa publication les thèses développées dans son livre sur la marginalisation de la tauromachie et le paradoxe de la résistance de celle-ci à la bien-pensance de la société contemporaine restent pertinentes pour expliciter les débats incessants que suscitent la corrida, comme les attaques renouvelées dont elle est continuellement l’objet.
» Un livre très documenté, percutant, sans jargon, excitant, sur la tauromachie dans son rapport plus que conflictuel, antinomique, avec la société contemporaine noyée dans la bien- pensance ». Jacques Durand
Vous pourrez acheter cet ouvrage (22 €) et le faire dédicacer.
La réunion aura lieu à 20h au restaurant Loubnane, 29 rue Galande, 75005 Paris.
Merci de vous inscrire le plus rapidement possible à l’adresse habituelle clubtaurindeparis@gmail.com
En cette occasion, vous pourrez régler votre cotisation pour l’exercice en cours, qui demeure fixée à 60 euros.
Prix de la soirée : membres du Club à jour de cotisation : 32 euros ; jeunes de moins de 25 ans : 15 euros ; hôtes de passage : 40 euros.
Amitiés aficionadas,
Le bureau.
Citons parmi les conclusions de Ruben Amon celle-ci:
« La calomnie sociale, la bienséance, la correction, la démocratisation du goût et des habitudes dans la société ne font qu’augmenter le prestige de la tauromachie comme fait extraordinaire. Jusqu’à réussir à en faire un espace de rébellion face aux conventions et aux mouvances moralisatrices. » … » Si les jeunes sont les citoyens les plus sensibles aux discours écologistes et animalistes, ils sont aussi ceux qui questionnent le plus le droit d’interdire. «
Il semble que cette analyse soit confirmée par les affluences aux arènes depuis la fin de l’épidémie de COVID, mais peut-être l’analyse de l’auteur a-t-elle évolué depuis la parution de son livre. Il sera en tout cas intéressant de lui poser la question.
Pour info, Ruben Amon est francophone ce qui facilitera la discussion.
Commentaires récents