Garcioso, toro n°54 de Santiago Domecq lidié à Séville par Jose Garrido le 27 avril 2022.
Provisoirement, parce qu’il semblerait que les verts, lors de leur journée d’accès à l’ordre du jour de l’Assemblée en janvier prochain, aient l’intention de déposer une proposition visant à interdire la mise à mort en corrida. (Source : tertulias.fr).
Tous les aficionados savent qu’il ne s’agit là que d’une hypocrisie majeure, puisque le toro non tué en piste est abattu dans les corrales des arènes. C’est ce qui se passe au Portugal. Il ne faut surtout pas montrer la mort dont ces gens ont tellement peur alors qu’elle couronne la vie. Et pour faire de l’anthropomorphisme, (car les animaux contrairement aux hommes n’ont pas conscience de la mort et ne l’anticipent pas), vaut-il mieux une mort au soleil dans un combat entièrement conforme à sa nature profonde, ou dans un couloir sombre sans voir d’où vient le coup et sans pouvoir se défendre ?
En attendant ces nouvelles luttes, voici quelques documents marquants sur le sujet de l’abolition :
D’abord un politique :
Puis un philosophe, à l’analyse sociologique percutante :
Rappel : un des appels publiés aux alentours du 19 novembre :
Un autre philosophe, bien connu des aficionados,
Une analyse journalistique équilibrée, ce qui a été assez rare du moins dans les médias audiovisuels :
Complétée par un éditorial bien venu :
Le témoignage d’El Rafi, un des toreros qui ont particulièrement bien défendu notre passion :
Et pardon de ne pas vous avoir présenté en leur temps tous ces témoignages de la vitalité de la corrida et des traditions taurines (rappel : une semaine de panne d’Internet)
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