L’ombre du picador sur la talanquère, à Séville 2019.
Il est calme, serein, attendant la charge des 500 kilos de force brute.
Pourtant, les sifflets vont se déchainer et la majorité du public ne s’intéressera pas à la position de la pique, à sa manière de donner la sortie, à la fermeté de son bras qui ne vrille ni ne pompe.
Les polémiques seraient inutiles si les maestros donnaient des consignes claires à leurs subordonnés à cheval et leur ordonnaient de mettre en valeur le toro. Mais on peut rêver…
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